Il est d’usage d’employer une formule de politesse lors de la rédaction d’une correspondance (lettre, courriel, etc.).
Découvrez dans cet article comment bien vous y prendre pour ne pas commettre d’impair.
Poursuivre la lecture : Quelles formules de politesse utiliser dans votre lettre ?
À pied est la seule orthographe correcte.
Poursuivre la lecture : À pied ou à pieds : singulier ou pluriel ?
Voire et voir sont deux homophones de sens différent.
Explications.
Exemple :
Voire : adverbe invariable, voire s’écrit avec la lettre finale « -e » et vient souligner un fait avec insistance. Son ajout permet de renchérir et de souligner l’importance de ce qui est énoncé.
Exemple :
Poursuivre la lecture : Voire ou voir | Orthographe et différences
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Poursuivre la lecture : Correcteur LanguageTool | Fonction de recherche de synonymes
La prétérition est une figure de style consistant à affirmer de manière explicite une chose que l’on dit vouloir omettre, et donc passer sous silence.
Elle est principalement utilisée pour attirer l’attention de l’interlocuteur et mettre un fait en relief : c’est la raison pour laquelle on la retrouve souvent en littérature, au théâtre ou dans les discours de rhétorique des avocats.
Poursuivre la lecture : Prétérition : définition d’une figure de style de l’atténuation
Seule l’orthographe bien sûr est correcte en français pour désigner la locution adverbiale.
Poursuivre la lecture : Écrit-on bien sûr, biensûr ou bien sûre ?
Une hyperbole est une figure de style visant à exagérer volontairement des propos pour mieux les mettre en relief.
Elle est très fréquente, notamment dans le langage courant, où elle prend de nombreuses apparences.
Formée à partir d’adverbes, de comparatifs ou de superlatifs, elle a pour but d’impressionner et de retenir l’attention de l’auditoire.
Poursuivre la lecture : Hyperbole : définition et exemples
La synecdoque est une figure de style consistant à exprimer « le plus pour le moins », « le tout par le moins », « l’espèce par le genre » ou encore « le singulier par un pluriel ».
De fait, on utilise un mot plus général ou plus restreint pour qualifier quelque chose en partant du principe que cette relation entre l’élément et son tout s’avère suffisamment logique pour être comprise.
Poursuivre la lecture : Définition de la synecdoque : une figure de style de l’inclusion
Les deux termes existent, mais présentent de légères différences.
Poursuivre la lecture : Ennuyant ou ennuyeux | Orthographe et différences
L’expression à l’aune de, constituée du nom aune, est relativement rare en français et principalement employée à l’écrit.
L’aune était jadis une unité de mesure utilisée en guise de référence. Cependant, cette unité n’était pas clairement définie et variait en fonction des régions, des villes ou des pays. C’est la raison pour laquelle on employait l’expression mesurer à son aune, c’est-à-dire « en fonction de son propre jugement ».
Aujourd’hui, lorsqu’on parle de la locution, on indique que l’on juge quelque chose « d’après les connaissances et les éléments dont on dispose ».
(Courrier international, article du 17 octobre 2020)
Poursuivre la lecture : À l’aune de : définition et étymologie